Les entreprises libérées apportent-elles plus de sens ?

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Plan de l'article

Mardi 23 octobre, Olivier Perrin, coach et formateur chez Mon job de Sens, nous parle des entreprises libérées. Le public : une trentaine d’anciens participants du programme ikigai proposé par Mon job de Sens, que nous regroupons sous « la Communauté ».

Conférence de 45 min d’Olivier Perrin sur les entreprises libérées (23 octobre 2018)

Pourquoi libérer les entreprises ?

Une étude de 2013 de l’Institut Gallup (le même que celui du test sur les talents que nous utilisons dans le programme) révèle que seuls 9% des salariés se disent engagés dans leurs entreprises.

Dévoilant ainsi une majorité de 65% qui « fait le job » sans grande implication et surtout 26% qui, eux, apportent une énergie négative dans l’entreprise, ayant tendance à tirer l’ensemble vers le bas. De quoi s’inquiéter sur la productivité de nos structures (qu’elles contribuent à la transition écologique ou pas).

Résultats de l’enquête Gallup de 2013 comparant l’engagement des salariés sur une base des réponses aux sondages Gallup de 27 millions d’employés dans 195 pays.
Source : « State of the Global Workplace : employee engagement insights for business leaders worldwide » – Gallup, Inc. 2013

Trois conditions pour être motivé.e.s au travail

En parallèle de cela, Daniel Pink (chercheur américain) nous explique que la motivation au travail repose sur trois piliers :

La vérité sur ce qui nous motive – Daniel Pink
  • l’autonomie : si chaque matin mon patron m’explique comment faire mon job je n’ai plus l’impression que mon cerveau ait une utilité. Ex. si je dois organiser un événement « Tu appelleras la salle Y pour leur demander s’ils ont de la disponibilité. Si pas possible, tu appelleras la salle X. Puis la salle Z. Puis tu appelleras le traiteur, etc. » J’ai donc besoin d’avoir un champ d’action autour de moi, suffisamment large pour que je puisse me déplacer à l’intérieur selon mon appréciation.
  • la maîtrise : c’est un juste équilibre dans la difficulté des tâches. Elles doivent être suffisamment intéressantes pour être stimulantes et que j’ai constamment envie de continuer à progresser, à apprendre. Une mission pas trop facile, sinon je m’ennuierais, ni trop difficile pour ne pas renoncer.
  • le sens : je sais pourquoi je dois faire ce job. J’ai été associé.e à la vision et je comprends pleinement l’intention, je sais où je vais : dans quelle direction, pour quel objectif. Ma mission n’est pas remise en question sans cesse, elle est utile.

Pour en savoir plus sur le sens au travail, venez participe à l’un de nos événements

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